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22/09/2009

100 000 ans pour rien...

Hier Taddei (what else?) il recevait les coordinateurs de l'encyclopédie 100 000 ans de beauté chez Gallimard. (c'est là, à partir de la 43ème minute avant Ora Ito parle de dématérialisation et on s'en fout et Valérie Lemercier est pas drôle comme dans ses films, ou comme dans Agathe Cléry, donc on s'en fout aussi http://ce-soir-ou-jamais.france3.fr/?page=emission&id... )

Le passage le plus intéressant, c'est quand le paléontologue nous narre des découvertes de tombes vieille de 30 000 ans où les jeunes gens étaient enterrés avec force parrures et bijoux. Bon, donc en gros les mecs ont toujours fait gaffe, jusqu'à plus près de nous à la Renaissance. D'où ma question, si on s'y intéresse depuis toujours et qu'aujourd'hui pour beaucoup de métiers c'est capital, pourquoi continue-t-on à voir des trucs comme ça ?

Demain nous établirons une liste des postes que Frédo le pittbull pourrait briguer pour aider la France, à part moraliser le capitalisme, ce qu'il s'est engagé à faire en un rien de temps...

 

21/09/2009

Plus fort qu'Higgins Clark, Lévy et Musso

VGE... Si si, le VGE. Il va publier un roman où il nous fait comprendre qu'en fait, ce polisson a fait des fripponeries avec Lady Di... Mais mais, mais c'est dingue ! Avec un pitch pareil, ça devrait enfoncer la hit-list des ventes:

http://www.lefigaro.fr/politique/2009/09/21/01002-2009092...

Demain, on prendra des nouvelles de David Hasseloff; il paraît qu'il est retourné à l'hôpital pour des problèmes d'alcool. L'article reste vague sur les liens entre les deux infos. David a t'il du mal à se remettre de la fois ou VGE lui a piqué Lady Di ? Et dire que ça ne sera même pas abordé lors du G20 de Pittsburgh...

7 à voir, ou pas

Hier soir, je suis tombé sur 7 à voir et ne me suis jamais relevé.

Ce fin jeu de mots et de lettres, on le doit à Samuel Etienne. C'est sa nouvelle émission politique de service public. L'an dernier il animait comme un vendredi (Samuel Etienne est assez nul en titres). Il y a 3 ans, Samuel Etienne a refusé d'animer ce soir ou jamais, laissant Frédéric Taddei faire. On pouvait y déceler une forme de bêtise, mais n'insistons pas et réjouissons nous puisque Frédo fait vraiment bien le job, encore que, là, à la rentrée, il m'inquiète un peu à être tout maigre...

Donc, hier sur le plateau on retrouve Manuel Valls et François Cluzet. Je transpire, ça sent le naufrage. Niveau mise en scène, Sam ne change rien à ses gimmicks immémoriaux: épaules basses et voix sub brunesque pour faire intime. Niveau interview, c'est pire que jamais. Celui qui dit des choses intelligentes, c'est Cluzet, mais il évite de le relancer. L'acteur fait une analyse de l'idée de la gauche qui revient avec tous les déçus de 82 quand on voit ce qui se passe en matière de dérégulation sociale et Sam demande à Manuel Valls s'il faut alors faire alliance avec le Modem... Ensuite, il ose, l'insolent, demander s'il ne ferait pas mieux de retirer sa candidature aux primaires du PS. Suivent des reportages sur Manuel Valls dans l'histoire (très amusant, mais involontairement) et les geeks en polititque (très con, mais toujours involontairement). Et puis, et puis arrive la cerise sur le gâteau.

La cerise est une intellectuelle, elle s'appelle Mariette Darrigand. Elle est sémiologue. Officiellement, comme Roland Barthes. En réalité, comme mon coiffeur; niveau analyse s'entend. L'an dernier, elle sévissait déjà aux côtés de Sam. Elle analyse les mots des politiques pour mieux les coincer. Ainsi, elle avait expliqué à Besancenot qu'il était ringard car il employait des mots en "re", révolution, réforme, quand le sens de l'histoire est plutôt à innovation. Le leader du NAP opinait doctement, la politique était plus complexe que prévu... Là, Mariette a pris une image de Valls avec un sparadrap sur la bouche (parue en une de El Pais) et elle a convoqué tous les grands courants de l'art et de l'histoire pour trouver des points communs à Manuel Valls avec Barack Obama... Sam jubile, il est d'accord, un quadra minoritaire dans une famille réformiste, Valls/Obama, ça le fait.

En éteignant le poste, on pourrait entonner la sempiternelle litanie sur la nullité télévisuelle. Sauf que, sauf que j'ai récemment reçu un courrier du Trésor Public me rappelant que j'allais bientôt devoir m'acquitter de la redevance télévisuelle. Et par cette dernière je contribue, un peu, au financement de 7 à voir. Et ça me courrouce un peu...

Demain, nous nous demanderons si dans le cadre de l'ouverture à la concurrence du service public, les animateurs et chroniqueurs seront interchangeables et si Marcel Rufo pourrait remplacer Marriette Darrigand...